À l’abattoir Aux mauvais jours On disparaît sous la production d’animaux morts Un amas d’os d’abats La chair Du sang On n’y croit pas On n’y croit plus Fatras d’amas Hallucination du trop d’animaux morts Pourquoi Pour qui On a mal au dos aux bras partout mais on y croit à la fin du jour du mois Au pognon pris sur nos maux sur nos dos ou nos bras Il y a la nuit sans fin dans d’infinis couloirs Aux bons jours Il y a tout ça qui n’a pas un poids si lourd Nos chansons Nos mots Ça va au fond Un travail a toujours valu un travail À l’abattoir On y croit Pourtant Un jour À la disparition du travail Mais quand putain Mais quand.
5. A la ligne
Joseph Ponthus, 2019. A la ligne. Feuillets d’usine. La Table ronde ---- Maurizio Iorio - basso elettrico / bass guitar ----
grazie a / thanks to Roberta Gerardo
A la ligne
7:16